"Quelle drôle de sensation de quitter Arras... finalement Dany Boon avait raison : dans le Nord Pas de Calais on pleure deux fois, quand on arrive et quand on repart. Je criais à qui voulait l'entendre qu'Arras n'était pas une ville mais une punition, et finalement c'est le cœur lourd que je l'ai quittée".